L’opérateur historique des télécommunications fait partie de la catégorie des meilleurs employeurs selon le célèbre journal américain « Silicon Review ».
Ce classement des « 50 best Workplaces 2017 » présente une sélection d’entreprises qui exercent dans le secteur des TIC et qui proposent un cadre de travail par excellence.
Pour établir ce palmarès, Silicon Review a tenu compte des critères en lien avec la gestion des ressources humaines. Ainsi, Maroc Telecom « répond avec succès » aux critères définis et se conforme au modèle adéquat. Le groupe explique sa réussite par la qualité de ses ressources humaines qui est selon lui : « le principal levier de croissance ». Grâce à ses conditions de travail favorables, il assure un épanouissement complet sur le plan professionnel.
Encore une fois, le Royaume du Maroc tire parti de sa position privilégiée dans le domaine des TIC ; un autre atout majeur qui intéressera les investisseurs étrangers.
Si vous avez besoin de plus de renseignements sur l’externalisation au Maroc, contactez-nous.
Un discours bien structuré est la clé de voûte d’une campagne de prise de rendez-vous. Découvrons ensemble comment peaufiner son argumentaire et communiquer efficacement avec son prospect.
Pour construire un script solide et convaincant, il est important de respecter un plan bien défini.
La première phase de votre discours débute par une présentation de vous et de l’entreprise que vous représentez. Elle doit être faite avec courtoisie.
Avant d’aller plus loin, vous devez aussi confirmer l’identité de votre interlocuteur pour pouvoir présenter votre offre et pour gagner du temps ; si ce n’est pas la bonne personne, demandez à la joindre et si elle n’est pas disponible, enchainez avec un autre prospect.
Exemple de présentation : « Bonjour, je suis Frédéric Dupuy de XXX. Puis-je parler à M. Dupont s’il vous plaît ? ».
Vient ensuite la phase de découverte. À ce stade, vous devez mener un entretien de qualité en posant des questions pertinentes. Cette étape permet de bien cibler vos clients potentiels et ainsi gagner du temps.
La personne en ligne est bien votre cible (?) : vous pouvez donc présenter votre offre. En fonction de l’intérêt de votre prospect, vous pourrez le mener à la phase de conversion.
L’étape finale consiste à prendre congé – un point à ne pas négliger. Exemple : « Je vous remercie M. Dupont pour votre confiance. Bonne journée. »
Un discours de qualité commence par un sourire dans la voix. Surtout, n’en faites pas trop – soyez naturel -, car cela s’entend.
Mettez du peps dans votre discours et soyez réactif. Ne lisez pas le script machinalement et ne laissez pas de blanc ; utilisez des tournures comme « Veuillez patienter svp le temps que je vérifie le planning de nos conseillers. » ou « Un instant, merci »
Utilisez des phrases courtes et soyez direct. Le présent est le temps à privilégier dans votre argumentaire.
Personnalisez votre appel en prononçant le nom du client. Cela démontre votre attention à son égard et votre professionnalisme dans votre domaine. Pensez à votre interlocuteur et faites en sorte qu’il se sente concerné ; ne centrez pas votre speech sur vous.
Préparez des arguments solides pour traiter les objections. Testez votre script ; faites des simulations au préalable et travaillez sur les axes d’amélioration.
Privilégiez les mots forts plutôt que les mots noirs. En effet, le choix des mots est capital lors de l’interaction humaine. Plusieurs types d’expression peuvent influencer le choix du client positivement ou négativement. Voici quelques formules simples pour éviter les mots noirs :
Formules à proscrire | Formules à privilégier |
Est-ce que vous avez des doutes ? | Est-ce que cela vous semble plus clair ? |
Des produits pas chers | Des produits offrant un bon rapport qualité-prix |
N’hésitez pas à nous contacter | Contactez-nous au XX XX XX XX XX |
Je vais essayer de remonter l’information | Je remonte immédiatement l’information |
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La campagne de phoning constitue la pierre angulaire d’une opération télémarketing. Dans cet article, nous allons voir l’importance d’une campagne de téléprospection en centre d’appels et la méthodologie appropriée pour réussir sa stratégie de marketing.
La campagne de phoning est un processus au travers duquel l’entreprise établit une relation directe par téléphone avec le client en vue de vendre ses services ou produits.
Elle peut être effectuée dans un centre de relation client ou par une personne isolée, notamment un commercial.
La campagne de prospection peut être sous forme de :
La campagne de prospection permet de gagner de nouveaux clients ou de fidéliser les clients existants.
Passer des heures au téléphone est une tâche perçue comme rébarbative par les commerciaux ; certains professionnels pensent que les commerciaux ont pour objectif principal la vente et le phoning ne doit pas être chronophage pour eux.
Ainsi, pour préparer l’entretien avec le commercial, les télévendeurs formés :
Ces professionnels de la téléprospection assurent aussi la relance d’un client après une prospection emailing. Contrairement aux campagnes emailing et sur papier, l’appel est un moyen de contact plus humain et chaleureux qui rassure et réconforte la personne à l’autre bout du fil.
3 règles de base sont à retenir pour réussir sa campagne phoning :
Chercher des clients au fort potentiel permet de constituer une base de données pertinente et évite de perdre du temps. Le recours à l’enquête marketing aide à cibler les bons prospects en fonction de l’âge, la zone géographique et d’autres paramètres déterminants de la campagne.
Afin de bien préparer sa campagne, votre argumentaire doit être bien rodé. Pour cela, il va falloir évaluer son efficacité et procéder à des réunions de débriefings visant à travailler sur les objections auxquelles font face les agents. À travers le script, l’agent doit pouvoir : accrocher, présenter, argumenter et conclure.
La formation est indispensable en vue d’assurer une stratégie de prospection efficace. L’agent doit maîtriser le langage, apprendre à argumenter, et déjouer les barrages.
Des modules de formation spécifiques doivent être proposés aux téléprospecteurs pour les aider à s’adapter à tous types de situations. Ils doivent en effet savoir rester courtois, quelle que soit l’attitude adoptée par le client. Pour ce faire, des simulations sont recommandées pour les préparer.
En outre, l’agent doit disposer de tous les arguments nécessaires pour accrocher le client et promouvoir son offre. Enfin, son superviseur identifiera les points forts et les lacunes observées pour le coacher et apporter les améliorations qu’il faut.
Les sociétés étrangères se tournent naturellement vers la délocalisation lorsqu’elles envisagent de lancer des campagnes de prospection pure. Si vous avez besoin de plus de renseignements sur l’externalisation au Maroc, contactez-nous.
Les centres de contact marocains valorisent fortement le secteur de la relation client au travers d’un vaste programme de formations continues. Destinées aux collaborateurs, elles ont pour but de les faire progresser rapidement.
Si tout le monde n’est pas apte à exercer ce métier – par manque de confiance ou à défaut de compétences -, une formation de qualité permet à tout le personnel de percer dans ce domaine.
Découvrons ensemble quelles sont les différentes formations nécessaires pour évoluer dans un centre de relation client.
La formation aptitude peut être regroupée en 2 grandes catégories : la formation au langage non verbal et celle du langage verbal.
La formation logiciel fait partie intégrante du programme de formation dans les centres de relation client. Que ce soit un téléconseiller, un superviseur ou encore un chef de plateau, une formation aux outils CRM est indispensable pour améliorer la performance des collaborateurs.
Avec la technologie qui ne cesse d’évoluer, le personnel doit être à jour sur les nouveautés pour être plus productif et efficace dans la relation client. L’entreprise vise en ce sens à maximiser ses ventes avec des logiciels de phoning de qualité. Ainsi,pour maîtriser un logiciel CRM avec gestion des contacts, agenda, multi-campagnes, la formation est de mise.
Lorsqu’un employé dispose des atouts nécessaires pour qu’il soit promu, il doit avoir l’appui et les modules de formation requis pour évoluer sereinement. Pour mener à bien des missions à responsabilité, il va falloir acquérir des compétences en gestion pour être crédible aux « yeux » de l’entreprise.
Sous la direction du responsable plateau, le superviseur va devoir mettre tout en œuvre pour atteindre les objectifs de vente et de satisfaction client. Au cours de la formation, l’aspirant superviseur suivra un programme axé sur :
Le chef de plateau, responsable plateau ou responsable production doit pouvoir mener les missions suivantes :
Ce professionnel doit suivre une formation supérieure en matière de management. Il doit être parfaitement autonome, méthodique et diplomatique pour communiquer efficacement et gagner le respect de ses collaborateurs. Il devra aussi apprendre à maîtriser des outils bureautiques.
Outre les postes de supervision et responsable de production, de nombreuses autres possibilités existent en fonction de la structure. Ainsi, les formations seront programmées selon le poste convoité.
Pour plus de renseignements sur les formations en centre d’appels, contactez-nous.
Après le numéro vert anticorruption, le lancement d’un centre d’appels au Maroc en vue de lutter contre la corruption est imminent.
Il faut rappeler que les méthodes traditionnelles de dénonciation (plaintes directes) permettent, tous les ans, de signaler 7 000 cas de corruption. Toutefois, le numéro vert est un service complémentaire qui a déjà fait ses preuves.
Selon le ministère de la Justice, lors de la présentation de son budget sectoriel pour l’année 2018, 31 personnes ont été condamnées grâce au numéro vert anticorruption entre le 25 juin 2015 et fin septembre 2017.
Les opérations qui « ont échoué » sont dues au fait que « le plaignant a cessé de collaborer » ou parce que le répondant n’a pas accepté le pot-de-vin, précise le ministère.
Et l’on prévoit un service encore plus performant par l’intermédiaire d’un centre d’appel dédié. Le titulaire du portefeuille de la Justice a fait savoir que le projet est en cours d’exécution après avoir fait l’objet d’un marché public.
Ce dispositif a pour but de remédier aux inconvénients du numéro vert. En effet, la ligne reçoit en moyenne entre 1 000 et 2 000 appels téléphoniques et étant donné le nombre limité de magistrats (3 seulement en ligne), trop d’appels restent en attente. La gestion devient pénible ; qui plus est, l’objet de l’appel est souvent incohérent au service proposé par le numéro vert.
Avec la mise en place de ce centre d’appels, « une quinzaine de personnes feront office d’intermédiaires entre les magistrats et les appelants. L’objectif est de filtrer les appels, pour n’en garder et ne nous transférer que ceux qui relèvent de la corruption », avait confié l’un des magistrats responsables du numéro vert anticorruption, en 2016.
En somme, le secteur des centres de relation client continue à s’enrichir de nouveautés au Maroc. Pour plus de renseignements sur la création d’un centre de contact sur le territoire marocain, contactez-nous.
Sofrecom, véritable figure de proue dans le conseil et l’ingénierie du secteur des télécommunications, inaugure le 12 décembre au Casa Near Shore Park ses nouveaux bureaux.
Le géant français est en effet un leader en matière des télécommunications, des NTIC (Nouvelles technologie d’information et de communication) et de la transformation numérique.
À l’occasion de cet évènement, le ministre marocain de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Économie numérique Moulay Hafid présidera l’inauguration avec Marc Rennard, président de Sofrecom et DGA d’Orange, et Guillaume Boudin, DG de Sofrecom.
Sofrecom vise ainsi à déployer ses activités au Maroc et contribuer à la stratégie de développement du pays dans le cadre du programme Maroc Numérique 2020.
Alors que Fès se prête parfaitement à l’externalisation au Maroc, la ville de Casablanca dispose aussi d’un emplacement favorable en raison des nombreux avantages qu’elle propose :
Encore une fois, le Maroc démontre qu’il est une destination idéale pour l’investissement étranger. Pour plus de renseignements sur les projets offshore et la délocalisation des activités au Maroc, contactez-nous.
Source : https://www.infomediaire.net/tic-un-leader-mondial-du-conseil-mise-gros-sur-le-maroc/
La MITC, société gestionnaire du parc d’activités Technopark de Casablanca, envisage de fournir un apport de 200 MDH aux startups du secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC).
Pour concrétiser ce projet, ce dispositif appelé Maroc Numeric Fund II obtient l’appui du programme baptisé « Innov Invest » de la Caisse centrale de garantie (CCG) et des trois banques BMCE Bank, Attijariwafa Bank, et Chaâbi Capital Investissement.
Le but du MNF II est d’encourager les entrepreneurs marocains en vue de les aider à développer leurs activités et être (encore) plus compétents dans leur domaine. En outre, une part de 20 % sera puisée du fonds d’investissement afin de financer les secteurs de greentech, de biotechnologies ainsi que tout autre secteur généraliste à fort potentiel.
Dounia Boumehdi, directrice générale de MITC Capital (société en charge de Maroc Numeric Fund II et du précédent programme : Maroc Numeric Fund I) est très satisfaite de ce projet : « Le fonds de 200 millions de dirhams nous permettra de capitaliser sur notre expérience et poursuivre nos opérations dans le financement et le soutien des startups opérant essentiellement dans le secteur des TIC. » Il faut aussi travailler « en bonne intelligence avec l’ensemble des fonds et structures d’accompagnement retenus dans le cadre du programme Innov Invest », ajoute-t-elle.
De son côté, Lamiae Benmakhlouf, responsable du Technopark, confie que MITC a déjà contribué à hauteur de 20 % au premier financement Maroc Numeric Fund I (100 MDH) où « 6 entreprises du Technopark, sur un total de 17 participations, ont bénéficié du soutien de financement de MNF».
Ce nouveau projet est établi en parallèle avec la stratégie Tech-Innov de Technopark, en collaboration avec IBM et Happy Ventures, dans le soutien des startups innovantes les plus porteuses du secteur numérique. Un programme visant à accompagner, booster, former et certifier ces jeunes entreprises.
Si vous avez besoin de plus de renseignements sur la création d’une startup au Maroc, contactez-nous.
91 % des professionnels Marocains soulignent l’importance de la sécurité informatique. C’est ce que révèle l’enquête de Kapersky Lab, en partenariat avec le cabinet d’études Averty, sur les comportements et attitudes des professionnels liés à la sécurité informatique au Maroc.
Nous connaissions tous la position prédominante du Maroc dans le secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC). Après avoir été désigné comme l’une des nations les plus sophistiquées du monde par le rapport Global competitiveness 2015 de Genève, l’Empire chérifien a un nouvel objectif à atteindre : renforcer son implication en matière de protection informatique.
L’étude de Kapersky Lab a été faite en ce sens pour évaluer la situation de la cybersécurité au Maroc. Avant d’aller plus loin, il faut savoir que l’enquête a réuni 714 personnes, âgées de 21 ans et plus. Elles sont réparties sur 40 villes (dont 26,5 % de l’axe Casablanca-Rabat, 12,5% d’Agadir, 9 % de Marrakech et 8 % de Fès) et exercent dans 26 domaines d’activité différents et des entreprises de toute taille. L’ensemble des répondants indiquent qu’ils font usage d’un support électronique dans le cadre professionnel : 46,2 % utilisent des ordinateurs fixes, 28,8 % des ordinateurs portables, 30,1 % ont plutôt recours aux smartphones, alors que 6,9 % utilisent des tablettes.
Pour lutter contre les cyberattaques, une grande majorité des sondés (84.6 %) précisent avoir recours principalement à l’antivirus. Ainsi, 63 % des menaces informatiques les plus fréquentes s’avèrent être des virus contre 21.4 % qui sont des logiciels malveillants et 16.9 % causant la perte de données. Et 21 % des entreprises révèlent avoir déjà subi une cyberattaque.
Il faut noter aussi l’intervention du département de l’informatique dans seulement 50 % des cas des problématiques. Le reste des répondants confient que c’est soit l’utilisateur, soit un prestataire externe de l’entreprise, des collègues ou des connaissances en dehors de l’entreprise qui s’en occupent.
En ce qui concerne les rançongiciels tels que Wanacry et Petya, près de 80 % pensent être susceptibles de ces attaques. Julien Pulvirenti, responsable des ventes pour l’Afrique du Nord, est très concerné et fait un appel contre ces dangers pour la sécurité informatique. Il propose en ce sens de miser sur l’éducation et la formation pour « lutter efficacement contre la cybercriminalité ».
En effet, 40 % des personnes interrogées disent avoir déjà branché sur leurs terminaux des clés USB étrangers et 33 % affirment avoir au moins une fois cliqué sur des fichiers envoyés par des inconnus. De plus, 46 % confient ne pas changer de mots de passe – un facteur qui place directement l’utilisateur dans le collimateur des pirates informatiques. Et près de 30 % ne tiennent pas compte des règles de sécurité, comme lorsque l’on retarde les mises à jour par exemple.
Pulvirenti aspire à ce que « les investissements technologiques et humains en la matière deviennent des priorités.» Selon lui, « internet étant maintenant devenu un pilier de nos existences, la cybersécurité doit faire partie intégrante de l’éducation, tout au long de nos vies, autant d’un point de vue personnel que professionnel ».
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