Archive de l’étiquette informatique

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Le Développement Numérique : 5e Édition De L’Africa Code Week

La 5e édition de l’Africa Code Week (ACW) a pour but de populariser l’utilisation des technologies de l’informatique surtout auprès de jeunes. L’initiative touchera jusqu’à 1,5 million d’adolescents Africains, mettant ainsi l’accent sur le développement des compétences informatique auprès des jeunes filles.

Lors de cet événement, ces derniers apprendront les différents langages de programmation informatique. De plus, les filles recevront des formations pour développer leur autonomie dans le secteur des TIC.

Soutien de l’UNESCO et d’autres géants de l’informatique

La firme high-tech SAP ainsi que d’autres entreprises participant à l’ACW ont été invités par l’UNESCO à se rendre au siège du ministère de l’Education Nationale, de la Formation Professionnelle, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.

Lors de cette rencontre, les entreprises se sont données rendez-vous pour la 5e édition de l’Africa Code Week ayant lieu dans plus de 36 pays. Pour l’occasion, le Maroc a réuni un nombre record d’instituteurs en informatique (8600 pour être exact) ainsi que 1,6 millions de jeunes débutants de la programmation informatique ont aussi été réunis. C’est d’ailleurs la norme pour l’Etat maghrébin depuis que l’APA fut fondée en 2015.

Au programme de la 5e édition de l’Africa Code Week

A noter que l’ACW s’est tenu à Rabat, la capitale du Maroc, auquel ont assisté une délégation de 27 enseignantes provenant de différents pays africains. Au programme de l’événement, des sessions d’initiation aux différentes fonctionnalités de la plateforme d’apprentissage Scratch 3.0. D’ailleurs, la société fondatrice MIT Media Lab a fourni ce logiciel de programmation pour les activités de l’ACW.

En plus de participer aux sessions de formation, les tuteurs en informatique ont aussi partagé leurs astuces notamment pour l’émancipation des filles ainsi que des élèves dans la tranche d’âge de 8 à 16 ans. Le but de ces informations est de faciliter l’apprentissage et le renforcement des compétences de la programmation informatique au sein des écoles.

L’émancipation des élèves passe mise en avant par les enseignants

Lors de l’événement qui s’est déroulé du 2 au 4 octobre 2019, coïncidant donc avec la journée mondiale des enseignants, il était surtout question de l’autonomie des filles dans le secteur du numérique. C’était donc aux enseignants et formateurs de trouver des solutions pour accélérer la progression des filles dans l’éducation en informatique.

Pour rappel, les 27 tutrices invitées à la 5e édition de l’ACW sont notamment reconnues pour avoir contribué auprès d’entreprises STEM à l’éducation d’élèves de 8 à 16 ans sur le continent africain. 

Dans les pays participants à l’événement, les enseignants locaux ainsi que les formateurs étrangers se sont réunis depuis le mois d’août pour partager sur les meilleures pratiques en terme d’enseignement. Le contenu de ces échanges, présenté lors de l’ACW en octobre, a pour but de transmettre et de populariser des outils pédagogiques afin de faciliter l’apprentissage de la programmation informatique aux élèves.

Les participants et contributeurs la réussite de l’ACW 2019

Depuis sa création en 2015, l’Africa Code Week a établi son réseautage auprès de 50 000 formateurs en programmation informatique. A ce jour, 4,1 millions de jeunes provenant de 37 pays ont pu bénéficier de ces échanges d’outils pédagogiques.

Quant à la contribution, des entreprises publiques et privées mais aussi d’ONG et d’associations à but non lucratif ont unis leurs forces pour uniformiser l’accès à l’éducation numérique sur l’ensemble de l’Afrique.

Les organisations en partenariat avec la SAP sont l’UNESCO YouthMobile, Google et le ministère fédéral allemand de la coopération économique et du Développement (BMZ – par le biais de l’initiative eskills4girls).

Pour rendre possible cette 5e édition, ces partenaires stratégiques ont fourni des centaines de micro-subventions. Des sessions de formation ont été dispensées dans le but de rehausser le niveau de compétences des formateurs. Mais encore, des ateliers de codage ont été organisés dans les écoles en vue de développer l’autonomie des filles.

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Article Source – https://www.tic-maroc.com/2019/10/lafrica-code-week-revient-pour-une-5eme-edition.html

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Casablanca : 70 Projets De Smart City À Réaliser D’ici 2022

Dans le cadre du projet de développement du Grand Casablanca (PDGC) 2014-2020, on prévoit le lancement de 4 programmes ambitieux : un système plus innovant de la gestion fiscale, un système d’information géographique, la numérisation des services de légalisation et l’obtention d’un logiciel CRM (Citizenship relations management).

Des dispositifs numériques novateurs

Le projet tant attendu de la migration numérique des services communaux s’annonce prometteur. D’ici 2022, plus de 70 projets requérant un investissement de 94 MDH seront concrétisés en fonction du schéma directeur de la transformation numérique (SDTN). Le programme a été validé par le Conseil de la ville après une étude réalisée depuis 2016 par la société de développement local (SDL) Casa prestations en collaboration avec deux organismes spécialisés.

La transformation numérique, en l’occurrence le projet de placer Casablanca comme smart city pour améliorer l’interaction entre citoyens et administration, est un projet qui a fait couler beaucoup d’encre et qui date depuis quelques années.

La concrétisation de ce projet permettra d’optimiser au mieux la gestion urbaine de la ville et elle pourra ainsi se positionner comme une smart city à part entière. Casablanca pourra ainsi proposer efficacement 5 différentes catégories de services : services administratifs, services d’intérêt général, services liés à la mobilité, services urbains, services de l’environnement.

Le programme du système d’information sera axé sur 3 domaines :

Le pilotage : mise en place de dispositifs numériques en vue de procurer une meilleure traçabilité et une performance à la gestion de la métropole.

Le métier : pour améliorer la gestion des opérations dans la ville à travers la numérisation des procédures.

Le support : optimiser les moyens humains et matériels.

La communication : développement d’outils (CRM, intranet, mobilité) à destination des citoyens.

Le projet va encore plus loin en améliorant l’accès à l’information grâce à la plate-forme nommée « Casa Urban Data », créée pour faciliter l’accès à l’information grâce à la centralisation des données partageables entre les institutions et les citoyens marocains.

Profitez des technologies évolutives en Maroc

Décidément, la situation de la transition numérique reste au beau fixe au Maroc. C’est pourquoi de nombreux investisseurs étrangers choisissent le pays comme destination pour externaliser leurs activités. Pour plus de renseignements, appelez-nous au +33 1 84 79 28 20 ou adressez-nous un mail via notre formulaire de contact.

 

Source : http://lavieeco.com/news/economie/casablanca-investira-94-mdh-dans-70-projets-de-smart-city-dici-2022.html

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Un Centre En Technologies Des Informations Ouvre A Casablanca

Ce projet est le fruit de la collaboration entre le Maroc et la République de l’Inde en vue de promouvoir le développement des compétences dans le secteur des technologies des informations (IT).

Selon  un communiqué de l’Institut national des postes et télécommunications (INPT), l’accord de partenariat entre le ministère de l’Industrie, de l’Investissement, du Commerce et de l’Économie numérique et le ministère des Affaires étrangères de l’Inde permettra d’augmenter le niveau de l’IT des Marocains.

La réussite de ce projet réside en grande partie à l’association des ressources complémentaires des deux nations. Un appel à candidatures a été lancé pour les personnes qui souhaitent s’inscrire et suivre la formation. Un premier groupe a déjà commencé à tester le projet et un autre groupe est attendu ce mois-ci.

Des formations IT, scientifiques et techniques de qualité

L’association de l’INPT et le « Centre for Development of Advanced Computing » (créé par ministère de la communication et des technologies de l’information de l’Inde) envisage de proposer des formations qualifiantes en anglais à destination des jeunes dans les filières scientifiques, informatiques ou techniques.

Le centre maroco-indien vise à mettre en valeur le partage du savoir, d’apprentissage, de connaissances scientifiques et technologiques avec des programmes liés à des thématiques en matière de développement IT. Ainsi, le centre propose des dispositifs tels que le génie logiciel, la création des sites, la programmation Java, la gestion des projets IT entre autres.

Une aubaine pour les cadres africains

Grâce à ce projet, le Maroc est pressenti pour devenir un hub numérique d’excellence en Afrique. En outre, des solutions sont proposées pour diminuer la facture numérique et donner la possibilité aux entreprises de tirer le meilleur parti des technologies numériques. L’institut est aussi considéré comme un centre de coopération plurilatéral avec un projet d’accompagnement des dirigeants des nations africaines.

Le centre de 600 m² est équipé de ressources et infrastructures suffisantes (matériel informatique, progiciel IT, bibliothèque équipements) pour répondre aux besoins de formation.

Pour en savoir plus sur les infrastructures IT et l’externalisation des activités au Maroc, appelez-nous au +33 1 84 79 28 20 ou adressez-nous un mail via notre formulaire de contact.

 

Source : https://www.h24info.ma/economie/casablanca-ouverture-dun-centre-maroco-indien-dexcellence-technologies-de-linformation/

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Cybersécurité : Nouveau Cheval De Bataille Au Maroc ?

91 % des professionnels Marocains soulignent l’importance de la sécurité informatique. C’est ce que révèle l’enquête de Kapersky Lab, en partenariat avec le cabinet d’études Averty, sur les comportements et attitudes des professionnels liés à la sécurité informatique au Maroc.

Nous connaissions tous la position prédominante du Maroc dans le secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC). Après avoir été désigné comme l’une des nations les plus sophistiquées du monde par le rapport Global competitiveness 2015 de Genève, l’Empire chérifien a un nouvel objectif à atteindre : renforcer son implication en matière de protection informatique.

L’étude de Kapersky Lab a été faite en ce sens pour évaluer la situation de la cybersécurité au Maroc. Avant d’aller plus loin, il faut savoir que l’enquête a réuni 714 personnes, âgées de 21 ans et plus. Elles sont réparties sur 40 villes (dont 26,5 % de l’axe Casablanca-Rabat, 12,5% d’Agadir, 9 % de Marrakech et 8 % de Fès) et exercent dans 26 domaines d’activité différents et des entreprises de toute taille. L’ensemble des répondants indiquent qu’ils font usage d’un support électronique dans le cadre professionnel : 46,2 % utilisent des ordinateurs fixes, 28,8 % des ordinateurs portables, 30,1 % ont plutôt recours aux smartphones, alors que 6,9 % utilisent des tablettes.

L’antivirus, l’outil le plus prisé des professionnels marocains

Pour lutter contre les cyberattaques, une grande majorité des sondés (84.6 %) précisent avoir recours principalement  à l’antivirus. Ainsi, 63 % des menaces informatiques les plus fréquentes s’avèrent être des virus contre 21.4 % qui sont des logiciels malveillants et 16.9 % causant la perte de données. Et 21 % des entreprises révèlent avoir déjà subi une cyberattaque.

Il faut noter aussi l’intervention du département de l’informatique dans seulement 50 % des cas des problématiques. Le reste des répondants confient que c’est soit l’utilisateur, soit un prestataire externe de l’entreprise, des collègues ou des connaissances en dehors de l’entreprise qui s’en occupent.

En ce qui concerne les rançongiciels tels que Wanacry et Petya, près de 80 % pensent être susceptibles de ces attaques. Julien Pulvirenti, responsable des ventes pour l’Afrique du Nord, est très concerné et fait un appel contre ces dangers pour la sécurité informatique. Il propose en ce sens de miser sur l’éducation et la formation pour « lutter efficacement contre la cybercriminalité ».

En effet, 40 % des personnes interrogées disent avoir déjà branché sur leurs terminaux des clés USB étrangers et 33 % affirment avoir au moins une fois cliqué sur des fichiers envoyés par des inconnus. De plus, 46 % confient ne pas changer de mots de passe – un facteur qui place directement l’utilisateur dans le collimateur des pirates informatiques. Et près de 30 % ne tiennent pas compte des règles de sécurité, comme lorsque l’on retarde les mises à jour par exemple.

Pulvirenti aspire à ce que « les investissements technologiques et humains en la matière deviennent des priorités.» Selon lui, « internet étant maintenant devenu un pilier de nos existences, la cybersécurité doit faire partie intégrante de l’éducation, tout au long de nos vies, autant d’un point de vue personnel que professionnel ».

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Source : http://www.tic-maroc.com/2017/11/lantivirus-est-loutil-de-protection-plus-frequent-ches-les-professionnels-au-maroc.html