CGI, le géant canadien en TIC (Technologies de l’Information et de la Communication) s’est récemment lancé dans un nouveau projet. Celui d’ouvrir un nouveau centre d’excellence à Fès. Un projet déjà concrétisé donc puis que l’inauguration est prévue pour le mardi 20 février 2018 au technoparc, Fès Shore Park.
En effet, pour CGI, le Maroc n’est plus un simple choix. C’est une évidence. L’entreprise de services de technologies de l’information en est à son 3ème centre sur le territoire marocain. Après avoir été conquise par Rabat, la capitale, et Casablanca, le géant se déploie maintenant à Fès.
Pour CGI, son implantation à Fès n’est qu’une continuité de sa stratégie. Les locaux seront situés dans le parc privé de 20 hectares de Fès Shore. Inauguré en 2012, le technoparc offre des infrastructures à la pointe de la technologie et performantes. De plus, c’est un cadre idéal pour les futurs employés du centre d’excellence. Fès Shore a été conçu sur le modèle d’un campus d’entreprise avec espace détente et ergonomie stimulante.
Comme nous l’avons mentionné, l’entreprise canadienne est déjà familière avec le mode de travail marocain. Et à en croire la tournure qu’ont pris les choses, elle est on ne peut plus satisfaite des infrastructures et de la main d’œuvre.
CGI emploie actuellement 700 personnes dans le pays. Ces derniers sont spécialisés en services applicatifs, en infrastructure et support divers. Ils opèrent sur différentes technologies comme le CRM, le Data Management, ou l’ERP entre autre.
L’ouverture de la nouvelle branche est donc vu d’un très bon œil par la population marocaine. En plus de générer de l’emploi, l’entreprise spécialisée apportera plus de connaissance technique à la main d’œuvre existante. Cela aura pour effet d’attirer plus d’investisseurs de ce type sur le territoire.
Ayant vu le jour en 1976 comme une entreprise indépendante, CGI s’est développée et est maintenant un groupe. Le groupe est d’ailleurs considéré comme étant la 5ème plus importante entreprise de ce genre au niveau mondial. CGI traite les services en technologies de l’information et la gestion des processus d’affaires.
En outre, CGI offre plus de 150 solutions et services à des milliers de clients. Et ce grâce à près de 68 000 employés à travers le monde. Avec près de €10 milliards de revenus annuels, le groupe est devenu une référence dans le secteur TIC international.
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https://www.infomediaire.net/tic-un-3eme-centre-marocain-pour-le-geant-mondial-cgi/
https://www.cgi.fr/news/ouverture-centre-d-excellence-cgi-fes
Pour ce qui du secteur des TIC, l’externalisation au Maroc comporte de nombreux avantages. Les investisseurs optant pour le Maroc bénéficient avant tout de la proximité du pays avec l’Europe. En sus de cela, le Maroc jouit d’infrastructures modernes, d’une bonne stabilité politique et de ressources humaines hautement qualifiées. Le Maroc rassemble tous les ingrédients sont pour réussir son projet dans la région maghrébine. Il va sans dire que les tarifs très compétitifs sont aussi un avantage non-négligeable.
Comme mentionné plus haut, ce pays d’Afrique du Nord est à proximité de l’Europe. Cette situation géographique mais à profit un faible décalage horaire. De plus, les investisseurs ou les donneurs d’ordres souhaitant se rendent sur le terrain n’ont pas à faire de longs déplacements. C’est un facteur clé puis que certaines entreprises souhaitent avoir une présence physique dans la société sous-traitante afin de garder un certain contrôle sur leurs activités.
Selon le rapport annuel de la Banque Africaine De Développement, le Maroc est classé 5ème d’Afrique pour les infrastructures. Le pays devance la plupart de ses voisins d’Afrique du Nord. Le gouvernement marocain met tout en œuvre pour attirer le plus d’investisseurs. Les infrastructures sont un élément clé surtout pour ce qui est du développement du secteur des TIC. Les activités liées à ce secteur se déroulent majoritairement à distance. De ce fait, les entreprises tels que les centres d’appels et centres de contacts doivent rassurer les clients étranger que les opérations peuvent se faire avec fluidité comme elles l’auraient été on onshore. Les faibles coûts de l’eau, du transport, d’électricité contribuent grandement à l’expansion des investissements permettant aux entreprises marocaines de proposer des coûts très compétitifs.
Un des facteurs clé recherché par les investisseurs est la stabilité politique. Ce pays de d’Atlas en possède. Depuis que le roi Mohamed 6 a pris les rênes du pays en 1999, il travaille en étroite collaboration avec les autorités pour mener à bien son projet de modernisation. Il a modernisé la région zone franche de Tanger qui compte plus de 475 d’entreprises étrangères. D’ailleurs le pays figure dans le Top 10 des investissements en Afrique.
Avec sa population de 35 millions d’habitants dont près de la moitié maîtrisant le français, le Maroc se positionne comme une destination stratégique pour l’externalisation de services visant le marché européen. Le Maroc abrite de plus en plus centres d’appels et centres de contacts offrant des services variés et de qualité. Et ce grâce à une population éduquée et qualifiée. Ils n’ont aucun mal à trouver des employés capables de répondre aux attentes de leurs clientèles.
Le Maroc maintien une solide réputation pour les investissements. Ce pays d’Afrique du Nord à tout pour évoluer : une bonne gouvernance, une vision de modernisation, une population qualifiée et des infrastructures de qualité.
[Source] http://www.leseco.ma/les-cahiers-des-eco/afrique/63075-le-maroc-5e-en-afrique.html
[Source] http://www.huffpostmaghreb.com/2017/05/04/ide-classement-maroc_n_16408706.html
La MITC, société gestionnaire du parc d’activités Technopark de Casablanca, envisage de fournir un apport de 200 MDH aux startups du secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC).
Pour concrétiser ce projet, ce dispositif appelé Maroc Numeric Fund II obtient l’appui du programme baptisé « Innov Invest » de la Caisse centrale de garantie (CCG) et des trois banques BMCE Bank, Attijariwafa Bank, et Chaâbi Capital Investissement.
Le but du MNF II est d’encourager les entrepreneurs marocains en vue de les aider à développer leurs activités et être (encore) plus compétents dans leur domaine. En outre, une part de 20 % sera puisée du fonds d’investissement afin de financer les secteurs de greentech, de biotechnologies ainsi que tout autre secteur généraliste à fort potentiel.
Dounia Boumehdi, directrice générale de MITC Capital (société en charge de Maroc Numeric Fund II et du précédent programme : Maroc Numeric Fund I) est très satisfaite de ce projet : « Le fonds de 200 millions de dirhams nous permettra de capitaliser sur notre expérience et poursuivre nos opérations dans le financement et le soutien des startups opérant essentiellement dans le secteur des TIC. » Il faut aussi travailler « en bonne intelligence avec l’ensemble des fonds et structures d’accompagnement retenus dans le cadre du programme Innov Invest », ajoute-t-elle.
De son côté, Lamiae Benmakhlouf, responsable du Technopark, confie que MITC a déjà contribué à hauteur de 20 % au premier financement Maroc Numeric Fund I (100 MDH) où « 6 entreprises du Technopark, sur un total de 17 participations, ont bénéficié du soutien de financement de MNF».
Ce nouveau projet est établi en parallèle avec la stratégie Tech-Innov de Technopark, en collaboration avec IBM et Happy Ventures, dans le soutien des startups innovantes les plus porteuses du secteur numérique. Un programme visant à accompagner, booster, former et certifier ces jeunes entreprises.
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91 % des professionnels Marocains soulignent l’importance de la sécurité informatique. C’est ce que révèle l’enquête de Kapersky Lab, en partenariat avec le cabinet d’études Averty, sur les comportements et attitudes des professionnels liés à la sécurité informatique au Maroc.
Nous connaissions tous la position prédominante du Maroc dans le secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC). Après avoir été désigné comme l’une des nations les plus sophistiquées du monde par le rapport Global competitiveness 2015 de Genève, l’Empire chérifien a un nouvel objectif à atteindre : renforcer son implication en matière de protection informatique.
L’étude de Kapersky Lab a été faite en ce sens pour évaluer la situation de la cybersécurité au Maroc. Avant d’aller plus loin, il faut savoir que l’enquête a réuni 714 personnes, âgées de 21 ans et plus. Elles sont réparties sur 40 villes (dont 26,5 % de l’axe Casablanca-Rabat, 12,5% d’Agadir, 9 % de Marrakech et 8 % de Fès) et exercent dans 26 domaines d’activité différents et des entreprises de toute taille. L’ensemble des répondants indiquent qu’ils font usage d’un support électronique dans le cadre professionnel : 46,2 % utilisent des ordinateurs fixes, 28,8 % des ordinateurs portables, 30,1 % ont plutôt recours aux smartphones, alors que 6,9 % utilisent des tablettes.
Pour lutter contre les cyberattaques, une grande majorité des sondés (84.6 %) précisent avoir recours principalement à l’antivirus. Ainsi, 63 % des menaces informatiques les plus fréquentes s’avèrent être des virus contre 21.4 % qui sont des logiciels malveillants et 16.9 % causant la perte de données. Et 21 % des entreprises révèlent avoir déjà subi une cyberattaque.
Il faut noter aussi l’intervention du département de l’informatique dans seulement 50 % des cas des problématiques. Le reste des répondants confient que c’est soit l’utilisateur, soit un prestataire externe de l’entreprise, des collègues ou des connaissances en dehors de l’entreprise qui s’en occupent.
En ce qui concerne les rançongiciels tels que Wanacry et Petya, près de 80 % pensent être susceptibles de ces attaques. Julien Pulvirenti, responsable des ventes pour l’Afrique du Nord, est très concerné et fait un appel contre ces dangers pour la sécurité informatique. Il propose en ce sens de miser sur l’éducation et la formation pour « lutter efficacement contre la cybercriminalité ».
En effet, 40 % des personnes interrogées disent avoir déjà branché sur leurs terminaux des clés USB étrangers et 33 % affirment avoir au moins une fois cliqué sur des fichiers envoyés par des inconnus. De plus, 46 % confient ne pas changer de mots de passe – un facteur qui place directement l’utilisateur dans le collimateur des pirates informatiques. Et près de 30 % ne tiennent pas compte des règles de sécurité, comme lorsque l’on retarde les mises à jour par exemple.
Pulvirenti aspire à ce que « les investissements technologiques et humains en la matière deviennent des priorités.» Selon lui, « internet étant maintenant devenu un pilier de nos existences, la cybersécurité doit faire partie intégrante de l’éducation, tout au long de nos vies, autant d’un point de vue personnel que professionnel ».
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Le Royaume du Maroc, pays du Maghreb situé en Afrique du Nord, fait figure d’eldorado pour les investisseurs du monde entier. C’est pourquoi ils sont nombreux à se tourner vers cette destination pour externaliser leurs activités. Parmi les secteurs phares, en plein essor au sein du territoire marocain, les centres d’appels et BPO occupent indéniablement une place prépondérante.
Considéré par certains comme l’un des plus beaux endroits du monde, le Maroc présente des attraits irrésistibles pour y vivre et pour faire fructifier ses affaires. Outre ses paysages somptueux, ses merveilleuses villes comme Marrakech, un des lieux les plus touristiques du Maroc, Rabat et Casablanca, le pays séduit de plus en plus les entrepreneurs étrangers.
En effet, le pays dispose des meilleurs atouts pour investir et les chiffres actuels parlent d’eux-mêmes ; selon l’agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT) du Maroc, on comptait en 2015 : 300 centres de relations clients, 80 BPO (Business process outsourcing) avec un effectif total de plus de 50 000 personnes.
Il est clair que de nombreuses destinations existent avec des avantages qui mettent le Maroc encore plus en concurrence. Cependant, avec l’ampleur inégalée qu’a prise le Maroc durant cette dernière décennie — notamment en mettant tout en œuvre pour répondre aux défis majeurs que les autres pays peinent à relever —, on peut sans ambages affirmer que le pays a pris une bonne longueur d’avance sur ses autres concurrents.
Voici 5 atouts de taille qui placent le Maroc comme l’endroit incontournable pour réussir son projet d’externalisation.
La proximité géographique est une excellente raison d’externaliser ses activités au Maroc, car cela facilite les échanges entre les collaborateurs et les prestataires de service.
Voilà pourquoi les investisseurs des quatre coins du globe se sont empressés d’exploiter cette terre de délocalisation par excellence. À l’instar des groupes comme Capgemini, Atos Origin, Steria, les centres de relations clients se sont aussi imposés sur les terrains de l’Empire chérifien pour externaliser leurs activités.
Pour ce faire, ils ont choisi les plus grandes villes marocaines telles que la capitale Rabat, Marrakech, sans oublier Casablanca, notamment le Nearshore Park représentant une superficie de 250 000 m² d’espaces bureaux et de commerces.
Le régime politique marocain est une monarchie constitutionnelle avec le roi Mohammed VI à la tête de l’État depuis 1999. Le chef suprême a entretenu de nombreuses relations économiques pour le pays, en l’occurrence celles avec la France.
L’État marocain propose aussi une législation souple en vue d’encourager les investissements venant de l’extérieur. Le développement des centres de relations client est un levier économique pour le pays et le gouvernement prône ouvertement sa croissance. Il présente en ce sens des avantages fiscaux intéressants, comme l’exonération de l’impôt sur les sociétés pendant les 5 premières années, puis un abattement fiscal de 50 % par la suite. De plus, le Maroc propose un taux d’impôt sur le revenu de 20 % uniquement et des subventions sont accordées pour le recrutement et la formation de main-d’œuvre marocaine.
Par ailleurs, la sécurité est parfaitement assurée. Un dispositif appelé « Hadar » (ou vigilance) a été mis en place pour protéger les citoyens marocains et visiteurs étrangers.
Le Maroc possède des infrastructures technologiques de qualité, voire l’un des plus modernes du monde selon un rapport de « Global competitivness 2015 », l’organisation basée à Genève. Ainsi, il reste un véritable pionnier au Maghreb et en Afrique du Nord en matière de technologies de l’information et de la communication (TIC).
Le Maroc possède des ressources humaines de qualité qui se prêtent au développement des métiers de centres de contact.
Pour répondre aux attentes des investisseurs étrangers, des certifications de plus en plus exigeantes sont délivrées. Les jeunes Marocains doivent désormais être très compétitifs pour pouvoir obtenir une place au sein des centres de contact ; le but est d’avoir un niveau adéquat pour concurrencer leurs homologues des autres pays offshore. De plus, des formations continues sont dispensées pour augmenter le niveau de compétences des employés marocains.
Qui plus est, solliciter la main-d’œuvre offre un excellent rapport qualité-prix en comparaison avec celle de la France ; quoi de plus profitable qu’une main-d’œuvre jeune et qualifiée à moindre cout et disposée à évoluer dans ce secteur ! Les Marocains possèdent une expertise reconnue dans les opérations commerciales et marketing. Grâce à leurs solides compétences et leur grande polyvalence, ils sont aptes à effectuer plusieurs missions telles que la téléprospection, la télévente et d’autres missions liées aux métiers de centres de contact.
Avec une population comprenant plus 35 millions d’habitants, plus de 10 millions de personnes maitrisent le français surtout dans les milieux urbains. Le Maroc est également membre de l’Assemblée parlementaire de la francophonie.
En outre, les Marocains sont ouverts à de nombreuses autres langues comme l’anglais et l’espagnol ; une aubaine pour que les autres investisseurs étrangers puissent développer leur business comme leurs homologues français ou pour les Français qui souhaitent élargir leur clientèle.
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