L’opérateur historique des télécommunications fait partie de la catégorie des meilleurs employeurs selon le célèbre journal américain « Silicon Review ».
Ce classement des « 50 best Workplaces 2017 » présente une sélection d’entreprises qui exercent dans le secteur des TIC et qui proposent un cadre de travail par excellence.
Pour établir ce palmarès, Silicon Review a tenu compte des critères en lien avec la gestion des ressources humaines. Ainsi, Maroc Telecom « répond avec succès » aux critères définis et se conforme au modèle adéquat. Le groupe explique sa réussite par la qualité de ses ressources humaines qui est selon lui : « le principal levier de croissance ». Grâce à ses conditions de travail favorables, il assure un épanouissement complet sur le plan professionnel.
Encore une fois, le Royaume du Maroc tire parti de sa position privilégiée dans le domaine des TIC ; un autre atout majeur qui intéressera les investisseurs étrangers.
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La MITC, société gestionnaire du parc d’activités Technopark de Casablanca, envisage de fournir un apport de 200 MDH aux startups du secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC).
Pour concrétiser ce projet, ce dispositif appelé Maroc Numeric Fund II obtient l’appui du programme baptisé « Innov Invest » de la Caisse centrale de garantie (CCG) et des trois banques BMCE Bank, Attijariwafa Bank, et Chaâbi Capital Investissement.
Le but du MNF II est d’encourager les entrepreneurs marocains en vue de les aider à développer leurs activités et être (encore) plus compétents dans leur domaine. En outre, une part de 20 % sera puisée du fonds d’investissement afin de financer les secteurs de greentech, de biotechnologies ainsi que tout autre secteur généraliste à fort potentiel.
Dounia Boumehdi, directrice générale de MITC Capital (société en charge de Maroc Numeric Fund II et du précédent programme : Maroc Numeric Fund I) est très satisfaite de ce projet : « Le fonds de 200 millions de dirhams nous permettra de capitaliser sur notre expérience et poursuivre nos opérations dans le financement et le soutien des startups opérant essentiellement dans le secteur des TIC. » Il faut aussi travailler « en bonne intelligence avec l’ensemble des fonds et structures d’accompagnement retenus dans le cadre du programme Innov Invest », ajoute-t-elle.
De son côté, Lamiae Benmakhlouf, responsable du Technopark, confie que MITC a déjà contribué à hauteur de 20 % au premier financement Maroc Numeric Fund I (100 MDH) où « 6 entreprises du Technopark, sur un total de 17 participations, ont bénéficié du soutien de financement de MNF».
Ce nouveau projet est établi en parallèle avec la stratégie Tech-Innov de Technopark, en collaboration avec IBM et Happy Ventures, dans le soutien des startups innovantes les plus porteuses du secteur numérique. Un programme visant à accompagner, booster, former et certifier ces jeunes entreprises.
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91 % des professionnels Marocains soulignent l’importance de la sécurité informatique. C’est ce que révèle l’enquête de Kapersky Lab, en partenariat avec le cabinet d’études Averty, sur les comportements et attitudes des professionnels liés à la sécurité informatique au Maroc.
Nous connaissions tous la position prédominante du Maroc dans le secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC). Après avoir été désigné comme l’une des nations les plus sophistiquées du monde par le rapport Global competitiveness 2015 de Genève, l’Empire chérifien a un nouvel objectif à atteindre : renforcer son implication en matière de protection informatique.
L’étude de Kapersky Lab a été faite en ce sens pour évaluer la situation de la cybersécurité au Maroc. Avant d’aller plus loin, il faut savoir que l’enquête a réuni 714 personnes, âgées de 21 ans et plus. Elles sont réparties sur 40 villes (dont 26,5 % de l’axe Casablanca-Rabat, 12,5% d’Agadir, 9 % de Marrakech et 8 % de Fès) et exercent dans 26 domaines d’activité différents et des entreprises de toute taille. L’ensemble des répondants indiquent qu’ils font usage d’un support électronique dans le cadre professionnel : 46,2 % utilisent des ordinateurs fixes, 28,8 % des ordinateurs portables, 30,1 % ont plutôt recours aux smartphones, alors que 6,9 % utilisent des tablettes.
Pour lutter contre les cyberattaques, une grande majorité des sondés (84.6 %) précisent avoir recours principalement à l’antivirus. Ainsi, 63 % des menaces informatiques les plus fréquentes s’avèrent être des virus contre 21.4 % qui sont des logiciels malveillants et 16.9 % causant la perte de données. Et 21 % des entreprises révèlent avoir déjà subi une cyberattaque.
Il faut noter aussi l’intervention du département de l’informatique dans seulement 50 % des cas des problématiques. Le reste des répondants confient que c’est soit l’utilisateur, soit un prestataire externe de l’entreprise, des collègues ou des connaissances en dehors de l’entreprise qui s’en occupent.
En ce qui concerne les rançongiciels tels que Wanacry et Petya, près de 80 % pensent être susceptibles de ces attaques. Julien Pulvirenti, responsable des ventes pour l’Afrique du Nord, est très concerné et fait un appel contre ces dangers pour la sécurité informatique. Il propose en ce sens de miser sur l’éducation et la formation pour « lutter efficacement contre la cybercriminalité ».
En effet, 40 % des personnes interrogées disent avoir déjà branché sur leurs terminaux des clés USB étrangers et 33 % affirment avoir au moins une fois cliqué sur des fichiers envoyés par des inconnus. De plus, 46 % confient ne pas changer de mots de passe – un facteur qui place directement l’utilisateur dans le collimateur des pirates informatiques. Et près de 30 % ne tiennent pas compte des règles de sécurité, comme lorsque l’on retarde les mises à jour par exemple.
Pulvirenti aspire à ce que « les investissements technologiques et humains en la matière deviennent des priorités.» Selon lui, « internet étant maintenant devenu un pilier de nos existences, la cybersécurité doit faire partie intégrante de l’éducation, tout au long de nos vies, autant d’un point de vue personnel que professionnel ».
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Avec l’avènement des technologies de plus en plus sophistiquées et de la délocalisation des activités, la ville de Fès est devenue une destination incontournable pour le secteur de l’offshore. Actuellement, 30 centres de relations client sont en activité dans la région et comptent un effectif total de 5 000 personnes. Et le parc Fès Shore dispose, à lui seul, de plus de 50 % de l’effectif. Un responsable de la ville confie qu’en 5 ans, ils ont créé plus d’emplois que l’industrie en 20 ans.
Les dirigeants de Fès affichent clairement leur optimisme et révèlent « que la construction de la 2e tranche de Fès Shore est prévue incessamment ». Selon eux, « Fès doit miser sur les secteurs innovants, générateurs de valeur ajoutée et notamment les TIC ».
La région est idéale pour les investissements venant de l’extérieur. En effet, elle possède de nombreux atouts : cinq universités (180 filières), 123 centres de recherches et laboratoires, 101 unités de formation et un institut national de plantes médicinales et aromatiques.
Acticall-Sitel Group, entreprise spécialisée en relations client à distance, a ouvert un nouveau centre à Fès Shore depuis 2015. Avec une superficie de 4 081 m ², le plateau d’Acticall comprend 677 salariés et vise à atteindre au moins 800 en 2018. En vue de répondre au mieux aux besoins de ses clients, le groupe « compte ouvrir un deuxième site à Fès à l’horizon 2019 compte tenu de la bonne performance réalisée par le premier site de Fès », laisse entendre Vincent Couchard, directeur de la filiale de Fès.
Parallèlement, Mohsine Touali, directeur du site CGI Fès Shore, est d’avis que « la ville de Fès a été logiquement choisie pour son bassin d’emploi dynamique avec un vivier de talents du numérique très riche, grâce notamment à l’Université Euro-Méditerranéenne de Fès (UEMF) ». De plus, il souligne les partenariats stratégiques avec l’université de Fès et l’école INSA Toulouse établie à Fès.
Il faut le noter : CGI est un groupe canadien indépendant de services en technologie de l’information et en gestion des processus d’affaires. La filiale marocaine compte 70 salariés depuis sa création en 2016. Mohsine Touali prévoit 250 salariés d’ici 2019 et se réjouit de « s’inscrire dans la dynamique économique de Fès en tant que première ESN (Entreprise de services du numérique) majeure à y accueillir de nouveaux talents ».
Les éloges sur Fès n’en finissent pas de pleuvoir, cette fois-ci du côté d’Amine Zarouk, directeur de la filiale d’Alten Maroc. Il qualifie la ville comme « un bassin RH abondant et de qualité, un niveau de vie relativement bas par rapport à une métropole comme Casablanca et un turn-over moins important que la moyenne du secteur ». Grâce à l’infrastructure du parc Fès Shore, ce pionnier de l’ingénierie et du conseil en technologie peut relever les défis majeurs et satisfaire aux besoins des clients les plus exigeants.
Depuis 3 ans, Alten Maroc est active sur le territoire marocain et compte aujourd’hui 250 collaborateurs. Les objectifs du groupe sont d’élargir sa clientèle à travers toute l’Europe sur les activités software. Pour ce faire, Zarouk envisage de gonfler son effectif à 500 collaborateurs jusqu’à 2020, et 1000 à terme. Il termine en affirmant que « le parc Fès Shore donne un important avantage en termes de réactivité favorisant une extension rapide ».
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Source : http://www.leconomiste.com/article/1020218-fes-se-positionne-sur-l-economie-du-savoir
Le Royaume du Maroc, pays du Maghreb situé en Afrique du Nord, fait figure d’eldorado pour les investisseurs du monde entier. C’est pourquoi ils sont nombreux à se tourner vers cette destination pour externaliser leurs activités. Parmi les secteurs phares, en plein essor au sein du territoire marocain, les centres d’appels et BPO occupent indéniablement une place prépondérante.
Considéré par certains comme l’un des plus beaux endroits du monde, le Maroc présente des attraits irrésistibles pour y vivre et pour faire fructifier ses affaires. Outre ses paysages somptueux, ses merveilleuses villes comme Marrakech, un des lieux les plus touristiques du Maroc, Rabat et Casablanca, le pays séduit de plus en plus les entrepreneurs étrangers.
En effet, le pays dispose des meilleurs atouts pour investir et les chiffres actuels parlent d’eux-mêmes ; selon l’agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT) du Maroc, on comptait en 2015 : 300 centres de relations clients, 80 BPO (Business process outsourcing) avec un effectif total de plus de 50 000 personnes.
Il est clair que de nombreuses destinations existent avec des avantages qui mettent le Maroc encore plus en concurrence. Cependant, avec l’ampleur inégalée qu’a prise le Maroc durant cette dernière décennie — notamment en mettant tout en œuvre pour répondre aux défis majeurs que les autres pays peinent à relever —, on peut sans ambages affirmer que le pays a pris une bonne longueur d’avance sur ses autres concurrents.
Voici 5 atouts de taille qui placent le Maroc comme l’endroit incontournable pour réussir son projet d’externalisation.
La proximité géographique est une excellente raison d’externaliser ses activités au Maroc, car cela facilite les échanges entre les collaborateurs et les prestataires de service.
Voilà pourquoi les investisseurs des quatre coins du globe se sont empressés d’exploiter cette terre de délocalisation par excellence. À l’instar des groupes comme Capgemini, Atos Origin, Steria, les centres de relations clients se sont aussi imposés sur les terrains de l’Empire chérifien pour externaliser leurs activités.
Pour ce faire, ils ont choisi les plus grandes villes marocaines telles que la capitale Rabat, Marrakech, sans oublier Casablanca, notamment le Nearshore Park représentant une superficie de 250 000 m² d’espaces bureaux et de commerces.
Le régime politique marocain est une monarchie constitutionnelle avec le roi Mohammed VI à la tête de l’État depuis 1999. Le chef suprême a entretenu de nombreuses relations économiques pour le pays, en l’occurrence celles avec la France.
L’État marocain propose aussi une législation souple en vue d’encourager les investissements venant de l’extérieur. Le développement des centres de relations client est un levier économique pour le pays et le gouvernement prône ouvertement sa croissance. Il présente en ce sens des avantages fiscaux intéressants, comme l’exonération de l’impôt sur les sociétés pendant les 5 premières années, puis un abattement fiscal de 50 % par la suite. De plus, le Maroc propose un taux d’impôt sur le revenu de 20 % uniquement et des subventions sont accordées pour le recrutement et la formation de main-d’œuvre marocaine.
Par ailleurs, la sécurité est parfaitement assurée. Un dispositif appelé « Hadar » (ou vigilance) a été mis en place pour protéger les citoyens marocains et visiteurs étrangers.
Le Maroc possède des infrastructures technologiques de qualité, voire l’un des plus modernes du monde selon un rapport de « Global competitivness 2015 », l’organisation basée à Genève. Ainsi, il reste un véritable pionnier au Maghreb et en Afrique du Nord en matière de technologies de l’information et de la communication (TIC).
Le Maroc possède des ressources humaines de qualité qui se prêtent au développement des métiers de centres de contact.
Pour répondre aux attentes des investisseurs étrangers, des certifications de plus en plus exigeantes sont délivrées. Les jeunes Marocains doivent désormais être très compétitifs pour pouvoir obtenir une place au sein des centres de contact ; le but est d’avoir un niveau adéquat pour concurrencer leurs homologues des autres pays offshore. De plus, des formations continues sont dispensées pour augmenter le niveau de compétences des employés marocains.
Qui plus est, solliciter la main-d’œuvre offre un excellent rapport qualité-prix en comparaison avec celle de la France ; quoi de plus profitable qu’une main-d’œuvre jeune et qualifiée à moindre cout et disposée à évoluer dans ce secteur ! Les Marocains possèdent une expertise reconnue dans les opérations commerciales et marketing. Grâce à leurs solides compétences et leur grande polyvalence, ils sont aptes à effectuer plusieurs missions telles que la téléprospection, la télévente et d’autres missions liées aux métiers de centres de contact.
Avec une population comprenant plus 35 millions d’habitants, plus de 10 millions de personnes maitrisent le français surtout dans les milieux urbains. Le Maroc est également membre de l’Assemblée parlementaire de la francophonie.
En outre, les Marocains sont ouverts à de nombreuses autres langues comme l’anglais et l’espagnol ; une aubaine pour que les autres investisseurs étrangers puissent développer leur business comme leurs homologues français ou pour les Français qui souhaitent élargir leur clientèle.
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