De nombreux métiers ont été créés avec l’essor du numérique. Cela place la relation au centre des préoccupations des entreprises. Le secteur bancaire n’a pas échappé à la transformation digitale de ses services.
Par ailleurs, le domaine de la finance et de la banque intéressent les jeunes diplômés. Mais les critères d’appréciation ne sont plus ceux d’antan. Aussi, ces passionnés se tournent davantage vers notre métier pour se spécialiser dans les relations clients à distance. Et ce, sans définitivement s’éloigner du secteur bancaire.
L’entrée du numérique dans le secteur bancaire a transformé les besoins des clients. En effet, ces derniers sont de plus en plus exigeants sur le point de l’instantanéité. Parallèlement, l’émergence des FinTech oblige les banques traditionnelles à revoir leur politique sur la relation client.
Aujourd’hui, l’on assiste à une génération de clients hyper connectés. Ils vont de moins en moins dans les agences physiques et préfèrent tout faire à distance. C’est pour cette raison que nous avons le télé-conseil bancaire au cœur de notre métier.
Notre centre d’appels dispose d’une plateforme dédiée à l’accompagnement et aux réclamations client des établissements bancaires. Elle s’occupe principalement d’une prestation en accueil téléphonique et en permanence téléphonique. Nos clients apprécient beaucoup ce service, car nous fournissons l’aide nécessaire à leurs clients même quand ils sont fermés.
La relation client devient alors un critère qui nous permet de vous démarquer des autres établissements financiers. Ainsi, pour vous rapprocher davantage de vos clients, nous nous plaçons au cœur de votre stratégie marketing.
Le métier de la relation client ne se limite plus aujourd’hui à suivre des scripts d’appels préétablis. Les banques recherchent en effet activement des profils avec des notions plus techniques sur la matière.
Outre les qualités relationnelles de nos agents, ils sont en possession d’un diplôme technique. Cela leur permet d’assurer au poste de téléconseiller spécialisé dans le domaine financier.
Ils font ainsi aptes à mieux comprendre les appelants, et peuvent leur fournir des conseils plus efficaces. Les agents qui travaillent au sein de notre centre d’appels possèdent de fortes connaissances du secteur bancaire. Ce qui réduit considérablement leur temps de traitement pour chaque appel entrant.
Sur le marché de l’emploi du secteur bancaire, on rencontre plus d’experts au poste de la relation client. Cela se remarque notamment dans le domaine du back-office et de la gestion. Cette recrudescence des professions généralistes s’explique par le fait qu’un téléconseiller doit connaitre et maitriser à la perfection son métier. Il doit être polyvalent et adaptable, selon les réglementations en vigueur.
En outre, les candidats mettent la barre assez haute concernant les compétences. D’ailleurs, ils poussent les recruteurs à rechercher des profils aux postes de fusion-acquisition, plus techniques et plus intellectuels. Avec une formation spécialisée, les jeunes diplômés peuvent aspirer à des postes purement techniques à la sortie de l’école.
Pour vous adapter aux nouveaux changements du secteur bancaire, le recours à nos services s’avère indispensable. Notre équipe d’experts en nouvelle technologie et de services en ligne est en mesure de satisfaire la nouvelle génération de consommateurs.
Travailler en tant que téléconseiller pour un établissement financier requiert de fortes connaissances en la matière. Dans notre call center, nous avons des collaborateurs spécialisés dans la relation client des banques. L’équipe commerciale est rodée pour fidéliser votre portefeuille client et apporter une valeur ajoutée à votre structure. Durant l’interaction, nos agents sont capables de gérer une clientèle insatisfaite et de développer une relation de confiance en toute circonstance. N’hésitez surtout pas à prendre contact avec nous au 1 84 79 28 20 ou directement sur notre page Web.
Selon une analyse publiée par le think tank britannique Oxford, les efforts de l’État Marocain visent à promouvoir le royaume comme une destination propice aux investissements étrangers. Mais encore, son secteur des TIC est devenu encore plus compétitif depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle loi concernant la transparence et la régulation du secteur.
La nouvelle Loi n°121-12 a été émise dans le Bulletin Officiel du 18 février 2019. Elle vise à apporter des améliorations sur trois niveaux afin de bénéficier à la fois aux citoyens et au climat des affaires.
Avant tout, la nouvelle loi a pour but de veiller à la protection des consommateurs. De ce fait, les fournisseurs de services de télécommunication devront faire davantage preuve de transparence dans leurs offres. Pour cela, ils devront revoir leurs contrats d’offres en y inculquant des explications claires pour une meilleure compréhension.
Puis, des améliorations seront aussi apportées à rendre le secteur des TIC de l’État Marocain plus compétitif. Pour cela, les opérateurs de télécommunications devront désormais partager leurs facilités infrastructurelles afin de bannir toute pratique monopolisante dans ce secteur. D’autre part, la nouvelle loi encourage tous les fournisseurs à collaborer ensemble pour desservir les zones reculées du Maroc.
Enfin, la troisième amélioration vise à réguler juridiquement les pratiques des entreprises. Pour cela, l’Agence Nationale de Règlementation des Télécommunications (ANRT) veillera à ce que les pratiques anticoncurrentielles soient bannies. Cette fois-ci, la nouvelle loi ne consistera plus à lancer des procès en cours mais à sanctionner les pratiques non-règlementaires dans l’immédiat.
Au royaume, le secteur des TIC est en pleine maturité depuis la libéralisation des années 90. Comme l’atteste le rapport publié par Hootsuite et We Are Social, en Janvier, le taux d’utilisateurs connectés à Internet s’élevait à 62%.Mais encore, selon la GSMA, le taux d’utilisateurs connectés à Internet depuis leurs smartphones s’élevait à 70% en 2018.
En effet, ces chiffres reflètent le potentiel de croissance pour le Maroc. Cependant, le marché des télécommunications est régi par trois opérateurs importants. Or, suite à la nouvelle loi, l’ANRT aura du fil à retordre pour ouvrir le secteur marocain à plus de compétition.
Parmi les opérateurs au Maroc, on retrouve Maroc Telecom en tant que principal acteur du secteur détenant de 42,3% des parts de marché. En deuxième position se trouve Orange Maroc avec 29,6% et enfin, on retrouve Wana Corporate et son opérateur de téléphonie mobile Inwi détenant 28,1%.
En 2018, Maroc Telecom affichait une augmentation de 3,4% totalisant ainsi 22,4 millions d’abonnés à Internet. Mais encore, son taux d’abonnés pour la téléphonie mobile a augmenté de 2,9% tandis que ses services d’Internet mobile ont enregistré une hausse de 14,2%.
Le nombre d’abonnés au téléphone fixe de Maroc Telecom a aussi augmenté de 5,4%, représentant 1,8 million d’abonnés tandis que celui pour le haut débit fixe s’élevait à 8,9%. Ce qui représente un total de 1,5 million d’abonnés.
Quant à Orange Maroc, lui, a enregistré une hausse moins soutenue d’abonnés pour ses services mobiles, s’élevant à 0,5% en 2018. Ce qui représente 12,8 millions d’abonnés. Les recettes du groupe ont aussi progressé de 6,2%.
Pour ce qui est de son collaborateur Inwi, son taux de croissance s’élevait à 12,3% pour ses services mobiles en juin 2018. Ce qui représente 10,5 millions de clients.
Depuis la mise en place du Plan Maroc Digital 2020, tous les efforts sont mis dans le but de populariser l’accès à Internet. En effet, cela permettrait de promouvoir la digitalisation et les entreprises opérant dans le secteur marocain des TIC. A noter qu’une telle avancée permettrait de décupler le développement économique de l’État marocain.
Pour cette raison, l’État marocain a pu accéder à un prêt de la Banque Mondiale en Février. Ces fonds estimés à plus 611 millions d’euros serviront à accélérer la transformation digitale sur tout le territoire marocain.
Ce consensus est le résultat d’une collaboration entre le Maroc et la Banque Mondiale visant à tirer profit du potentiel des TIC du royaume. A noter que le secteur marocain des télécommunications a le potentiel de faire avancer l’entreprenariat ainsi qu’à développer l’e-gouvernement. Mais encore, il en résulterait plus d’optimisation et d’innovations permettant la croissance générale du pays.
Des réformes apportées afin de retenir les talents marocains
La fuite du capital humain national est un challenge à la mise en place du Plan Maroc Digital 2020. En mars, la présidente de la Fédération Marocaine des Technologies de l’Information, des Télécommunications et de l’Offshoring (APEBI), Saloua Kakri Belkeziz, a déclaré à la presse marocaine qu’une douzaine d’ingénieurs en informatique étaient embauchés par des sociétés étrangères tous les 15 jours.
Pour la résolution de ce problème, l’APEBI a décidé de collaborer avec l’Agence Nationale de Promotion de l’Emploi et des Compétences (ANAPEC) pour proposer des sessions de formations en TIC. Ces programmes de formation dureront neuf mois et seront proposés aux détenteurs d’un diplôme de License scientifique.
Selon l’ANAPEC, cette formation de reconversion permettrait à plus de 2000 diplômés scientifiques de développer des compétences pour travailler dans le secteur de l’informatique.
En plus des actions menées pour encourager le développement des compétences de sa population active, le Maroc tente d’attirer les talents étrangers pour améliorer son secteur des TIC. Pour cela, le royaume a revu sa procédure d’obtention de visa de travail envers les experts en informatique en réduisant le délai à 48 heures. Mais encore, les frais de dossiers on été aussi réduit de 5000 dirhams (461 euros) à 1500 dirhams (138 euros).
Comme vous pouvez le constater, le marché des télécommunications au Maroc est en pleine expansion. Maroccallcenter.com est un des principaux acteurs en matière de prestations de télémarketing. Nous collaborons avec des experts et des spécialistes de la relation client afin de fournir les meilleures solutions aux entreprises.
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Article Source – https://www.infomediaire.net/secteur-des-tic-oxford-business-group-decortique-le-marche-marocain/
Pendant plus d’une décennie, le Maroc a accompli des avancées remarquables au niveau de sa situation économique. D’ailleurs, 2017 fut une année exceptionnelle pour l’État marocain qui a connu une hausse considérable d’investissements directs étrangers (IDE). En outre, la société de recherches Quantum Global a classé le Maroc en tant que 1ère destination d’investissement d’Afrique. Les secteurs récipiendaires des investissements sont ceux de la Finance, de l’Énergie et du Tourisme.
En 2018, le Maroc fut classé parmi les cinq pays d’investissement par la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) en faveur des PME. En sus de cela, le classement Doing Business 2018 de la Banque Mondiale a placé le Maroc en 60ème position. Ce qui ne fait que renforcir l’attractivité du pays.
Principalement connu pour ses ressources naturelles, le Maroc se place en 6ème position des dix pays les plus fortunés d’Afrique. De plus, la multiplication des entreprises multinationales est un indicateur incontestable du capital social marocain. En sus de cela, le flux des capitaux étrangers à hauteur de 195 milliards de dirhams, soit 21 milliards de dollars sont prévus pour 2019.
La proximité du Maroc vis-à-vis de l’Europe est un réel avantage aux investisseurs étrangers. A seulement deux heures de vol d’Europe, les hommes d’affaires pourront se déplacer plus rapidement pour retourner dans le territoire européen.
De plus, avec la Convention de Non-Double Imposition, les étrangers résidant sur le territoire marocain pourront récupérer leurs revenus en toute simplicité.
Évidemment, toute croissance économique passe principalement par le développement des infrastructures. Porté par une vision royale très ambitieuse, l’innovation des infrastructures au Maroc fait partie des facteurs primordiaux de compétitivité du pays.
En outre, des infrastructures d’accueil ont été mises à disposition des investisseurs souhaitant mettre en œuvre leur capital. De même, des zones industrielles ont été aménagées en région méditerranéenne.
En sus de cela, le Maroc possède des infrastructures de qualité notamment une superstructure aéroportuaire moderne dont 17 Aéroports internationaux. Une autoroute de plus de 2000 km permet la facilitation des déplacements sur le territoire marocain. De plus, le voyage par voie ferrée sera possible entre les villes de Casablanca et Tanger. Finalement, le Port international de Tanger Med est classé parmi les principaux quais africains et parmi le top 30 internationaux.
Par ailleurs, le Maroc est aussi mondialement reconnu pour ses cinq centrales solaires. Cet atout démontre le véritable potentiel du Royaume au niveau du secteur de l’Énergie.
De plus, ces développements infrastructurels ont suscité l’intérêt de nombreux pays. D’ailleurs, ils souhaitent exporter ce savoir-faire sur tout le reste du continent africain.
En 2017, le Maroc a enregistré une baisse au niveau de la création d’emploi. Néanmoins, la qualité des ressources humaines au Maroc est un atout porteur de qualité de production et d’efficacité.
D’ailleurs, le Maroc dispose d’une main-d’œuvre adaptée aux projets d’expansion ou de modernisation des divers secteurs. La majorité de ces employés réside en milieu urbain. De plus, les secteurs de la High Tech se focalisent sur l’augmentation des aptitudes des ressources humaines.
Par conséquent, le gouvernement marocain a implémenté une stratégie visant à créer de nouveaux emplois et à offrir des formations adaptées. D’ailleurs, les secteurs concernés par ce projet sont la Big Data, la Protection des Données et la Gestion de Contenu, entre autres. Ceci facilitera l’intégration des jeunes dans la société marocaine.
Comme mentionné plus haut, le Maroc dispose d’une économie florissante et d’un climat des affaires propice aux projets de développement. Son produit intérieur brut (PIB) par habitant a augmenté de 3,2 % en moyenne.
En outre, le Maroc possède un niveau de dette extérieure acceptable. Quant aux IDE, le Maroc a enregistré une hausse de 12%, grâce aux entreprises multinationales opérant dans des secteurs émergents au Maroc. Parmi les secteurs les plus prometteurs, on peut noter les TIC, les Infrastructures, l’Énergie, entre autres.
Avec la transformation digitale qui prend de l’ampleur, la plupart des consommateurs sont connectés en permanence. Pour répondre aux exigences d’interactions en temps réel, le Maroc investit dans la mise à jour de ses plateformes téléphoniques. Autrefois, les prestations proposées en centres d’appels consistaient principalement de la télévente et de la prise de rendez–vous. Désormais, les prestataires proposent leurs services sur plusieurs points d’interactions sur tout le long du parcours client, grâce à une communication multicanale.
Pour cette raison, les centres d’appels marocains, conscients de l’importance de la transformation digitale, ont investi dans les logiciels CRM et dans l’Intelligence Artificielle (IA). Ces outils sont conçus dans le but d’optimiser la relation client à distance et augmenter le taux d’engagement des clients. Désormais, il devient plus facile d’interagir de façon personnalisée avec les consommateurs.
En effet, dans ce pays, ces centres de relation client travaillent pour des entreprises étrangères, surtout celles basées en Europe. De plus, l’absence de décalage horaire entre l’Europe et le Maroc constitue un atout pour les services de permanence téléphonique.
Par conséquent, pour répondre aux besoins de mutation vers la digitalisation, des formations sont dispensées aux salariés. De nouveaux métiers dans le domaine de la Big Data et la Protection des Données sont ainsi créés. En outre, la performance des opérateurs utilisant les logiciels CRM est optimisée.
Avec l’entrée en vigueur du Règlement sur la Protection des Données Personnelles (RGPD), le secteur des TIC au Maroc a connu de grands changements. Par conséquent, les centres d’appels basés au Maroc ont du revu leurs systèmes de traitement des données des clients. Le stockage et traitement des fichiers clients sont optimisés en fonction des critères de cette nouvelle loi. Ainsi, les consommateurs n’ont plus à craindre pour la confidentialité de leurs informations.
Pourquoi externaliser la gestion de la relation client au Maroc ?
Récemment, les entreprises ont pris conscience du besoin d’interactions en permanence avec leurs abonnés. De ce fait, elles ont recours aux prestations proposées en centres de relation client. Avantageusement, les centres de contact au Maroc sont expérimentés dans l’optimisation de l’expérience client. Cette solution intelligente permet d’avoir plus d’employés avec l’aide des technologies intelligentes pour mieux satisfaire les consommateurs.
En sus de cela, les services d’accueil téléphonique en permanence et d’assistance clients sont proposés. Du coup, le parcours client est optimisé.
Effectivement, recourir à l’externalisation de la relation client n’est pas une tâche à prendre à la légère. Il faut bien comparer efficacement les différentes prestations répondant aux spécificités de l’entreprise.
Vous envisagez d’externaliser la gestion de votre relation client au Maroc? Ou y créer votre propre centre d’appels? N’hésitez pas à nous contacter. Maroc Call Center est spécialisé dans la comparaison des centres d’appels au Maroc. Écrivez-nous directement sur notre site. Ou sinon, laissez-nous vos coordonnées, nous nous ferons un plaisir de vous recontacter dans les plus brefs délais.
Source : http://francais.doingbusiness.org/fr/reports/subnational-reports/morocco